• Chapitre VII : Les Compagnons 

    Partie IV : Dette de Sang

     

    Le décès de Skjor ne stoppa point la vie en Jorrvaskr. Notre compagnon a eu les funérailles qu'il méritait, et déjà, dès que les premières cendres s'envolèrent, on me demanda de partir en quête éliminer quelques bandits alentour de Blancherive. Sans discuter, je m'exécuta. 

    Blancherive VII : Les Compagnons - Partie IV : Dette de Sang

    C'était dans la Tanière de l'Escroc, une petite grotte où se terraient généralement des bandits. Cela devait être une quête simple, mais des membres de la Main d'Argent s'y trouvaient. Comme c'était Aela qui m'y avait envoyé, je me suis dit qu'elle savait qu'ils étaient ici et qu'elle désirait se venger de la mort de Skjor en m'envoyant les éliminer, le tout sans en parler aux autres Compagnons, car chez nous, la vengeance était mal vue.

    Ils périrent tous sans exception. Je ne leur accorda aucune pitié. Ce fut à nouveau un bon carnage.

    De retour à Jorrvaskr, je fus convoqué par Kodlak, le "chef" de Jorrvaskr.

    Le vieil homme savait qu'Aela et moi avions voulu venger la mort de Skjor. Cela n'avait pas leur de lui plaire mais il le comprenait pleinement. Kodlak était un homme réellement admirable, très compréhensif et honorable. Et curieusement, c'était à moi qu'il voulait se confier et me faire part d'une tâche de la plus haute importance. Il me parla de la lycanthropie dont bénéficiaient les membres du Cercle. Pour certains, il s'agissait d'une trahison de sorcières, pour d'autres, d'une bénédiction de leur part, malgré l'interdiction de se rendre à Sovngarde après la mort. Ce qui était sûr, c'est que Hircine, Deadra de la Chasse, avait la main mise sur ceux étant dépendant de la lycanthropie, et en cela, après leur mort, ils devaient chasser éternellement en compagnie de Hircine. Kodlak ne voulait pas d'une éternité pareille. Il voulait rejoindre ses ancêtres en Sovngarde. Je le compris pleinement. Il cherchait donc un moyen d'avoir le choix entre la Chasse Eternelle et Sovngarde pour repos de l'âme après la mort. Et il pensait avoir trouvé la solution : Frapper à la source même de la malédiction. Il suffisait d'anéantir les sorcières qui avaient trahi les Compagnons d'antan. C'est à moi qu'il demanda cette tâche.

    Blancherive VII : Les Compagnons - Partie IV : Dette de Sang

    C'était au Coven du Glenmoril que se terraient les sorcières. Je m'y rendis sans plus attendre.

    Blancherive VII : Les Compagnons - Partie IV : Dette de Sang

    Une fois encore, le sang coula dans une violence extrême. Ces ignominies étaient immondes et redoutables. Il y en avait 4 en tout et aucune de survécu. Je récupéra leurs têtes et leur trésor et retourna vers Jorrvaskr.

    Blancherive VII : Les Compagnons - Partie IV : Dette de Sang

    Mais une fois de retour à Jorrvaskr, ce fut la catastrophe. La Main d'Argent a enfin eu le courage d'affronter les Compagnons de face, et en plein jour. L'offensive fut grande, les gardes de Blancherive ont agit trop tard, il n'y avait que les Compagnons pour se défendre contre leur ennemi éternel.

    Tous les fragments du Wuuthrad avaient ainsi été volé.

    Et Kodlak était mort.

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  • Chapitre VI : Les Compagnons

    Partie III : La Main d'Argent

     

    A notre retour du notre exploration au Cairn du Poussiéreux, un rituel d'intégration fut organisée en mon honneur à Jorrvaskr. Le soir était tombé. Je fus ainsi considéré comme un membre des Compagnons. Une fois la cérémonie effectuée, on me laissa prendre une mission de mon choix pour commencer mon aventure en leur sein. Je pris une mission que me proposa Skjor. Je devais récupérer une dague cachée dans un fort à l'ouest du pays.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Cela me mit une bonne journée. Le fort était infesté d'araignées géantes sous l'emprise d'un sorcier fou. Une fois le fort vidé et la dague récupérée, je retourna à Jorrvaskr.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    C'est à partir de là que l'on me fit part d'une mission exceptionnelle. Farkas avait fait part à Skjor que j'étais l'Enfant de Dragon des légendes nordiques. Cela devait grandement intéresser Skjor et celui-ci m'invita à le rejoindre à la Basse-Forge la nuit tombée. Ce que je fis.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    La Basse-Forge était placée sous la Forgeciel. Je rejoignis comme convenu Skjor la nuit tombée. L'homme s'avança devant le rocher sur lequel était installé la Forgeciel, et le mur s'affaissa laissant paraître un passage sous la Forgeciel. Nous nous enfoncions dans la grotte. Il y avait une grande cuve et un loup-garou qui s'y tenait devant, tranquillement. Skjor m'apprit que ce loup-garou était Aela.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Les Compagnons étaient bien liés à un pacte bénéfique leur conférant la possibilité de se transformer en loup-garou afin d'obtenir des compétences de chasse dignes d'un véritable prédateur. C'est du moins ainsi que le définissait Skjor. C'est alors qui me demanda si j'acceptais de participer au rituel d'intégration au Cercle des Compagnons, et de bénéficier ainsi du Sang du Loup. Etant plus proche des dragons que des loups, j'accepta néanmoins. C'est alors que Skjor versa le sang d'Aela dans la cuve et m'invita à le boire. Ce que je fis. Et, tout devint noir.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Je repris mes esprits dehors, au coeur du froid, dans un endroit que je ne connaissais pas du tout. Aela me souriait et me disais que mon rituel s'était à peu près bien déroulé. Je ne pigeais rien mais elle me fis comprendre que ma véritable épreuve allait commencer avec une mission des plus urgentes : Skjor avait été enlevé par les Mains d'Argent et était devenu leur otage. Ils étaient caché dans le Fort de Gibet. Nous étions en face de ce fort et devions préparer, Aela et moi, l'offensive pour l'élimination des guerriers de la Main d'Argent et la libération de Skjor.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Nous ne perdîmes point de temps. La charge contre l'ennemi fut violente. Pas de discrétion. J'usa du cri que j'avais appris au Cairn du Poussiéreux qui me permettait de cracher, tel un dragon, de terribles flammes sur mes ennemis. L'offensive fut monstrueuse.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    L'ennemi ne pouvait rien faire contre nous. Entre mes flammes draconniques, mes puissants coups des marteau, et la précision archère d'Aela, rien ne pouvait nous barrer la route.

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Une fois arrivés dans la salle principale, ce fut un putain de carnage. Le sang coulait et brûlait. Les os furent broyés. L'ennemi était en miette. Mais Skjor était mort...

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

    Blancherive VI : Les Compagnons - Partie III : La Main d'Argent

     


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  • Chapitre V : Les Compagnons

    Partie II : Une Question d'Honneur

     

    Après avoir effectué quelques quêtes en leur nom, Skjor me convoqua afin de me demander d'accompagner Farkas pour une quête spéciale. Je le rejoignis. Farkas me fit part que l'on devait se rendre dans un donjon, non loin de Blancherive, nommé Cairn de Poussiéreux où se trouverait un fragment d'un relique recherchée par les Compagnons: Une partie du Wuthraad, la hache du fondateur légendaire et ancestral des Compagnons.

    Blancherive V : Les Compagnons - Partie II : Question d'Honneur

    Blancherive V : Les Compagnons - Partie II : Question d'Honneur

    Après une bonne heure de marche, nous arrivons au Cairn le Poussiéreux. Notre quête pouvait ainsi commencer. Dès les premières salles, des signes faisaient croire que quelqu'un était venu avant nous : Des cadavres de draugrs jonchaient le sol. Cela ne nous arrêta point, nous continuons alors notre descente dans les profondeurs du donjon.

    A un moment, nous arrivions sur une salle bloquée par une grille. Je m'avança pour activer le levier quand une grille m'enferma dans une petite salle. Farkas me rassura en me disant qu'il allait trouver la solution pour me sortir de là, mais c'est à ce moment qu'un groupe de guerriers l'encercla. Ils étaient au moins 6 et semblaient hostile. Farkas semblait les connaître, mais pas spécialement amicalement. Il était en danger et je me maudissais de ne pas pouvoir l'aider. Mais mon inquiétude fut rapidement oubliée lorsque je vis Farkas se transformer en loup-garou et éliminer sans soucis l'ennemi. Je fus perplexe devant la scène, la transformation en loup-garou provenait-elle du culte des Compagnons ou était-elle propre à Farkas ? Une fois que mon compagnon redevint lui-même et trouva le moyen de me libérer, je lui posa la question sur sa transformation. Il resta très discret et distant dans ses réponses. Mais cela m'importait guère, après tout, il faisait ce qu'il voulait. Néanmoins, il m'apprit que ces guerriers appartenaient à l'organsiation de la Main d'Argent qui se prétendait hériter du Wuuthrad et avait pour but d'éliminer tous les loup-garous. C'est alors que je fis le rapprochement entre les Compagnons et la transformation en loup-garou. Ce que Farkas me confirma.

    Blancherive V : Les Compagnons - Partie II : Question d'Honneur

    Puis nous continuions notre quête.

    Blancherive V : Les Compagnons - Partie II : Question d'Honneur

    Cette fois-ci, des draugrs s'ajoutèrent à notre descente dans le donjon. Les Mains d'Argent n'étaient, semble-t-il, pas descendus aussi loin. C'est alors que nous arrivions à la salle principale où nous attendait en effet le fragment du Wuuthrad devant un mur mystique draconnique. Une fois le savoir des dragons transmis en moi (au grand étonnement de Farkas, qui me fixa du regard avec grand intérêt), nous nous procurions le fragment du Wuuthrad au moment où maints draugrs se réveillèrent. Un pur massacre eu alors lieu.

    Blancherive V : Les Compagnons - Partie II : Question d'Honneur

    Une fois les morts de retour dans leurs tombes, nous retournions à Jorrvaskr.


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  • Chapitre IV : Les Compagnons

    Partie I - Prendre les Armes

     

    Depuis le temps que j'y pensais, il était vraiment temps que je les rejoigne, maintenant que je connais un peu mieux la situation de Bordeciel ainsi que le ville de Blancherive. Rejoindre les Compagnons était ce qui me motivait le plus, cela me faisait penser à mes meilleurs moments avec ma troupe en Alphasia.

    Blancherive IV - Les Compagnons : Partie I - Prendre les Armes

    Mon intégration parmi eux se déroula sans aucun soucis. Les Compagnons sont installés dans le Jorrvask, auprès de la magnifique Forgeciel, d'où le légendaire Eorlund Grisetoison forgeait les meilleurs lames de tout Bordeciel. Il fallait que je me présente à Kodlak, il était une sorte de chef des compagnons, bien qu'il se défendait de l'être en m'avouant que chaque compagnon était chef de lui-même, mais qu'il fallait tout de même quelqu'un pour s'occuper des recrutements. Kodlak demanda alors à Vilkas de me tester au combat. je le suivis dehors et lui mis la pâtée, tellement j'étais motivé à l'idée de les rejoindre. 

    Blancherive IV - Les Compagnons : Partie I - Prendre les Armes

    L'exercice terminé, on me demanda de me rendre à Forgeciel où m'attendait Eorlund Grisetoison. Une fois à la Forgeciel, l'homme me demanda de transmettre le bouclier qu'il venait de forger à Aela. Après avoir un peu discuté avec lui tandis qu'il me forgea une nouvelle arme comme gage de bienvenue dans le clan, j'emporta le bouclier afin de le rendre à Aela. Une fois cela fait, on me fit comprendre que Farkas m'attendait pour un quête spéciale.


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  • Je me promenais pénard aux alentours de Blancherive histoire d'explorer un peu les environs, lorsque je tomba sur le campement d'un géant. M'y approchant discrètement, je pilla le contenu du coffre gardé par le géant en train de dormir. Dans ce coffre, je récupéra une mystérieuse orbe que je mis dans la poche. Je m'écarta alors du géant et continua ma promenade quand tout à coup, une voix céleste m'interpella. La voix se présentait sous le nom de Méridia, il s'agissait d'un daedra de la Lumière (dieu en Tamriel). Celui-ci me fit savoir que le fait d'avoir trouvé cette orbe a fait de moi son champion pour une quête particulière. J'accepta cette aventure et ainsi, Méridia m'invita à le rejoindre dans son temple, loin vers l'Ouest.

    Après une longue marche pleine de péripéties, j'arrivais enfin au temple de Méridia.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

    Au sommet de son temple se tenait sa statue. Elle me demanda alors de déposer son cristal sur le socle au pied de la statue. Après cela, elle me fit part en détails de sa requête. Un nécromancien nommé Malkoran était en train de souiller les âmes des défunts à l'intérieur de son temple, brisant ainsi leur repos. Par respect pour les héros tombés lors de la guerre, elle me demanda de libérer les âmes des tortures subies par le nécromancien en l'éliminant dans les profondeurs du temple. Elle me promit alors une grand récompense, d'ordre divine, au cas où je réussirais dans ma quête. J'accepta en m'enfonça dans les profondeurs du temple.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

     Le temple de Méridia était un donjon comme un autre, sauf que les âmes profanées étaient réellement coriaces. Diantre ! Que ce fut éprouvant ! Les âmes damnées tenaient bien mes coups de marteau, et maîtrisaient plutôt bien l'épée. On sentait bien qu'il s'agissait d'anciens soldats ayant parcouru maintes guerres et combats. Déjà que je base, je n'étais pas spécialement doué au marteau, mais là j'admets que cette quête m'avait filé du fil à retordre ! Néanmoins, avec une bonne fureur et persévérance, j'eu raison des morts corrompus.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

    Après quelques énigmes et autres rudes combats entre les salles et les couloirs du donjon sous-terrain, j'arrivais enfin dans la chambre de rituel où sévissait le nécromancien Malkoran.

    Un long et rude duel eu lieu. Le nécromancien était lâche et usait d'une puissante magie, sans parler de ses acolytes damnés qui le protégeaient. 

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

    Mais enfin, après un long combat, je lui asséna le coup de grâce.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

    Quand tout à coup, son corps prit feu et une ombre noire s'éleva. Menaçante, l'ombre usa de la magie offensive. je compris alors que Malkoran avait damné sa propre âme.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

    Mais elle ne fit point long feu. Un coup de masse bien placé, et je l'oublia rapidement. 

    Puis vint un moment de calme après les combats, Méridia m'invoqua à nouveau afin de me remercier et de me transmettre sa divine récompense : l'épée Aubéclat.

    Chapitre III : La Lumière de l'Aube

     

     


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