Je n'ai pas spécialement grand chose à vous dire sur Aubétoile... A l'exception d'une quête en particulier.

Aubétoile est gouvernée par le Jarl Skald, très rattaché à la rébellion des Sombrages, malgré les idéaux de certains lui reprochant son attachement à Ulfric. Néanmoins, les habitants de la ville étaient en proie à de pénibles cauchemars incessants. La tension était à son comble. Les gens n'étaient pas très bavard et le musée que l'on m'avait invité à voir n'avait rien d'intéressant, contrairement à la quête de son propriétaire.

Chapitre I : Fin du Cauchemar

Chapitre XI : Les Bienfaits de la Nature

Plusieurs jours après la quête des Compagnons et quelques aventures alentour de Blancherive, je me rendis au temple de Kynareth afin de soigner ma migraine dû à une sacrée cuite la veille. Une certaine Danica Pure-source me donna une potion dégueulasse qui me fit aucun effet contre ma migraine. En plus de cela, elle me parla de trucs que je ne comprenais pas. Je lui demanda de répéter et elle me fit comprendre que je ne devais pas boire la potion mais la mélanger avec du lait. 

Voyant que j'étais aventurier, elle me demanda une requête particulière : redonner vie au Vermidor, l'arbre blanc de la place centrale de Blancherive. Sur le coup, elle m'expliqua en détails ma quête mais je cherchais toujours à comprendre le lien entre ma migraine et cet arbre.

Puis elle me simplifia rapidement la chose : Je devais avant tout récupérer une dague que posséderait une sorcière, non loin de Helgen. Pour redonner vie au Vermidor, il me fallait utiliser cette dague, nommée Fléortie, qui était la seule arme capable de récolter de la sève du Primarbor, autre arbre de la même espèce du Vermidor afin que celui-ci reprenne vie.

Je mis un peu de temps à comprendre tout cela, mais je partis enfin à nouveau en quête, en direction du Sud où une sorcière attendait ma lame.

Quelques heures plus tard, je me rendis enfin à la tanière de la sorcière. Ces acolytes tentèrent de me stopper mais ils n'eut point le temps de prier que mon marteau leur brisa déjà le crâne. Par contre, la sorcière ne se laissa point faire. Elle jetait de puissantes boules feu explosives. J'avais du mal à m'approcher d'elle, mais enfin, grâce à mon Cri Draconnique, je la déstabilisa et lui broya les os. Fléortie était enfin en ma possession.

Je repris donc la route vers le Primarbor afin d'y récupérer sa sève. Le voyage fut long est périlleux. Bandits, loups et géants croisèrent ma route. Puis enfin, je fis face à la grotte dans lequel se trouvait, selon les dires de Danica, le grand arbre.

Je fis la rencontre de quelques personnes qui vénéraient le Primarbor, je leur fis peur en leur présentant Fléortie, ils me supplièrent donc de ne pas faire le moindre mal à l'arbre. Mais je m'en foutais. Grâce à la dague, je repoussais les racines géantes jusqu'à faire face au tronc duquel je récolta un peu de sève. C'est alors que des esprits de la nature, des spriggans, apparurent et m'attaquèrent afin de défendre l'arbre. J'eu raison d'eux et quitta les lieux devant les fidèles de l'arbre consternés.

Le lendemain, j'arrivais enfin à Blancherive où je donna la sève à Danica. Après en avoir étalé sur le Vermidor, elle me remercia en m'enseignant quelques astuces de guérison.

Mais j'avais toujours mal au crâne.

Chapitre X : Les Compagnons

Partie VI : Gloire Funèbre II

Plusieurs jours plus tard, l'on me convoqua dans la Basse-Forge. Aela, Eorlund et Vilkas étaient en train de parler de moi comme successeur à Kodlak. Ils avaient lu le carnet de celui-ci, je leur avais filé. L'idée d'être chef est contraire aux Compagnons, car comme le disait si bien Kodlak lui-même, chez les Compagnons, chacun est chef de lui-même. En vérité, tout ceci n'était que symbolique. Vilkas et Aela se chargeaient des nouvelles recrues, tandis que moi, j'étais surtout considéré comme une sorte de grande figure parmi les Compagnons, un héros. En aucun, il n'était question que je dirige qui que ce soit.

Wuuthrad fut enfin reforgé par Eorlund. La hache était splendide et j'en étais le digne successeur. Mais l'histoire ne s'arrêtait pas ici, car il y avait encore la volonté finale de Kodlak à accomplir : Lui permettre de rejoindre Sovngarde, car Hircine était encore son maître. Et pour y parvenir, il fallait se rendre au Tombeau d'Ysgramor afin d'offrir le repos éternel à l'âme de Kodlak. Ainsi, Aela, Vilak, Farkas et moi-même partîmes au tombeau.

Après une longue marche, nous arrivions enfin devant le tombeau. Notre aventure dans la crypte pouvait ainsi débuter.

Dès la première salle, une grande statue d'Ysgramor nous fit face. Je devais y placer Wuuthrad afin que le passage s'ouvre à nous. Chose faite, nous continuions notre progression.

Ysgramor avait été enterré ici avec ses plus fidèles compagnons. Et leurs fantômes se réveillèrent dans le but de nous tester afin de savoir si nous étions réellement dignes d'être des Compagnons. Les fantômes étaient coriaces, mais notre avancée se fut plutôt bien. Malgré la trouillardise de Farkas, qui refusait d'aller plus loin sous prétexte qu'il avait peur des araignées...

Maints combats eurent lieu et maintes énigmes furent élucidées dans les profondeurs du tombeau d'Ysgramor, quand enfin, nous arrivions dans la crypte ultime, où reposait Ysgramor.

Devant un brasier bleu, l'esprit de Kodlak nous attendait. J'eu le privilège de parler avec lui. Il me demanda de brûler la tête de la sorcière de Glenmoril, l'origine de la transformation des membres du Cercle des Compagnons en loup-garous, afin de permettre à Kodlak de quitter le terrain de chasse de Hircine et de rejoindre Sovngarde.

Sans attendre, je jeta la tête de la sorcière dans le brasier bleu. L'esprit de Kodlak disparu alors dans un ultime remerciement quand tout à coup, l'esprit d'un grand loup rouge fondit sur nous : C'était la bête qui sommeillait en Kodlak. Afin de briser une bonne fois pour toute la malédiction, nous éliminions l'esprit du loup, et, Kodlak s'envola vers Sovngarde afin d'y trouver le repos éternel.

C'est ainsi que se termina cette histoire au sein des Compagnons. Une fois Kodlak auprès des siens en Sovngarde, un silence impérial s'imposa dans la crypte. Nous n'avions donc plus qu'à retourner à Jorrvaskr afin de continuer à accomplir des glorieuses quêtes qui écriront la légende des Compagnons.

Chapitre IX : Les Compagnons

Partie VI : Gloire Funèbre II

ça m'emmerde dur ! Car déjà que je ne suis pas spécialement bon pour l'écriture (entre fautes et narration foireuse, choses que vous aurez sans doute remarqué), et je le suis encore moins pour l'écriture d'émotion et tout ce bordel, je laisse ça à Antumnoën, ou notre nouvelle déesse en Alphasia, Luna. 

Tout ce que je peux vous dire :

Les funérailles de Kodlak se sont déroulé magnifiquement,

Puis Eorlund m'a demandé d'aller chercher le dernier fragment du Wuuthrad que Kodlak gardait toujours sur lui. je devais ainsi me rendre dans sa chambre afin de lui rapporter pour reforger Wuutrhad, la hache légendaire d'Ysgramor.

Dans la chambre de Kodlak, je récupéra le dernier fragment de la hache, mais aussi le carnet de Kodlak.

Ainsi, je vous laisse la totalité du carnet, ce bougre sait plutôt bien toucher le coeur des gens, je trouve.

Chapitre VIII : Les Compagnons

Partie V : Pure Vengeance

Pas de temps à perdre ! Kodlak ne supporte pas la vengeance, mais Vilkas ne peut pas accepter que les Compagnons se laissent faire. De ce côté, je partage entièrement son avis, mais de l'autre, j'admets avoir eu l'impression de faire une erreur en partant au Refuge de Pénombris afin d'éliminer les derniers membres de la Main d'Argent. Il était hors de question, par respect pour lui, de s'y rendre afin de venger Kodlak, mais surtout d'y récupérer les fragments de Wuuthrad volés. De mon côté, j'avais cerné l'idée : On ne tue que par nécessité. Mais je ne pense pas que Vilkas suivait cette même opinion.

Une fois arrivé au Refuge de Pénombris, une nouvelle nuit de sang eu lieu...

Je m'efforçais à ne penser qu'aux fragments du Wuuthrad. Mais j'admets ne pas avoir usé de la moindre discrétion. Bien au contraire : J'étais le premier à fondre sur l'ennemi.

Vilkas était complètement perdu dans sa folie sanglante. Il était très attaché à Kodlak, et il pensait, dans la folie sanguinaire, lui rendre hommage en tuant chaque membre de la Main d'Argent. C'est là que je compris que nous étions dans l'erreur. Du moins, qu'il était dans l'erreur. Sa folie de pure vengeance me réveilla et me focalisa sur l'objectif le plus important : Wuuthrad.

Il m'était impossible de calmer Vilkas. Je craignis qu'il ne commette le pire une fois arrivé à la salle finale, où le chef ennemi nous attendait sûrement. Je le dévança alors, brisa la dernière porte, et fondit droit sur la dernière garde afin de faire couler le sang une bonne fois pour toute au nom d'Ysgramor, Père des Compagnons.

Leur chef mort. Nous pillions leur trésor et récupérions les fragments du Wuuthrad.

Après l'ignoble chaos sanglant et tourment sonore qui faisaient écho à travers les couloirs du Refuge de Pénombris, un silence impérial s'installa.

Sans un mot, nous quittions ce lieu maudit, la boule au ventre. Du moins, je l'avais pour Vilkas. Lisant l'expression de son visage, je compris qu'il venait d'avoir conscience d'avoir fait une lourde erreur: Il avait vengé Kodlak - La Main d'Argent avait été éradiquée par sa lame.

De retour à Blancherive, les funérailles de Kodlak nous attendaient.