• Enquêter sur un meurtre en posant des questions à des gens à droite et à gauche, cela ne m'a vraiment jamais plu. J'ai vraiment l'impression d'être considéré comme un larbin, surtout lorsque les personnes qu'on interroge nous répondent comme des vieux cons... Bref, je vous avoue que je ne me souviens plus en détail de personnes que j'ai interrogé. Mais un richou semblait être à la tête de la conspiration des Parjures. Il était au courant qu'un prisonnier donnait des ordres à certains acolytes en plein coeur de Markarth. Et évidemment, ces ordres étaient généralement des assassinats - le cas typique du terrorisme, me diriez-vous. Il m'était alors temps de faire mon rapport à Eltrys. Mais lorsque j'entrai dans la sanctuaire où il devait m'attendre, ce fut des gardes qui m'attendirent. Je ne peux me défendre, ils me surveillaient et me jetèrent en taule m'accusant de conspiration envers le ville ou je ne sais quoi. Enfin, bref, quoi, vous avez pigé qu'ils avaient été payé pour me foutre au trou, non ? Par contre, Eltrys s'est fait tué, et ça c'est pas cool car il était assez sympa, je ne laisserais pas cela passer ainsi.

    Le soir tombé, je me retrouva au trou. Je fis un tour rapide des prisonniers histoire de les connaître un peu. Quand un mec me parle de Madanach comme un gars à la tête d'un peu tout le monde ici.

    Je ne vous le cache pas, à partir de là, ça a été un véritable merdier. Entre ce Madanach qui était en réalité de chef des parjures qui organisais les attaques sur Markath et qui, accessoirement, me fila un coup de main à sortir de prison et cette évasion foireuse ensanglantée par de violents combats contre je ne sais qui, ça a été un foutoir. 

    Une fois dehors, ce fut à nouveau les gardes de la ville qui nous accueillirent, et autant vous dire qu'ils n'avaient pas l'air de vouloir nous indiquer l'office de tourisme...

    Ce fut la panique totale dans les rues de Markarth, le sang des évadés et des gardes se mariait sur le sol gelé de la ville de pierre. Entre temps, je m'occupa personnellement de Madanach en lui fandant le crâne. Les gardes témoins de mon acte avaient du mal à me cerner. Et au lieu de se dire que j'étais de leur côté, ils m'attaquèrent tous me considérant comme l'ennemi public numéro 1.

    Je n'avais pas le choix. Après avoir éliminé quelques gardes, je fuis la région de la Crevasse.


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