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Rivebois - Chapitre II : Le Tertre des Chutes Tourmentées
Chapitre II :
La Tertre des Chutes Tourmentées
Je commençais à grimper les escaliers du tertre, quand des bandits m'encerclèrent. Le duel était inévitable et le sang coula dans des combats effrénés. Il y avait pas mal d'archers, mais je pus sans soucis leur renvoyer leurs flèches. Je tua un orc qui avait une hache à deux mains de je récupéra.
Ils étaient nombreux, mais bizarrement organisés, c'est ce qui est comique avec les bandits : Quand ils organisent une offensive, ça fait souvent des dégâts, mais quand on organise une attaque sur eux, c'est le foutoir total chez eux !
Enfin bref, une fois mes ennemis à terre, je me rendis aux portes du temple afin de démarrer mon exploration du tertre.
A l'intérieur, je vis dans le première salle un campement au loin. M'approchant avec discrétion, mon arc élimina les deux derniers bandits. Je vida leurs poches et leur coffre et continua ma descente dans les tunnels.
Une nouvelle salle se présenta à moi, il s'agissait d'une impasse. Une grille était refermée bloquant ainsi le passage du prochain couloir. Je devinais rapidement qu'il fallait résoudre une énigme en faisant pivoter des symbole sur les socles tournoyant. Une fois l'énigme résolue, la grille se leva et je continua ma route.
Les autres couloirs étaient principalement vides avec peu d'or dans les reliques. Je tua quelques ragnards et draugrs, sans aucun soucis, et m'enfonça encore plus dans les profondeurs du tertre.
Puis, dans un couloir, j'entendis quelqu'un appeler à l'aide. Je me précipita et tomba dans une nouvelle salle recouverte de nids et de toiles d'araignées géantes. Au fond de la salle, je vis un elfe des bois capturé dans une toile, c'était lui qui réclamait de l'aide. A ce même moment, un ignoble araignée géante, appelée Givrepeire en Bordeciel, descendit du plafond, je dégaina mon marteau à deux mains que j'avais récupéré sur un bandits dans une des salles, et fonça sur la créature.
Le combat contre le créature était violent. Déjà, la givrepeire tenta de me ralentir avec son venin, mais je parvins à lutter contre et à fracasser la carapace de l'ignoble créature.
Une fois la bestiole achevée, je m'avança devant l'elfe pour lui réclamer la Griffe d'Or. Celui-ci me répondit qu'il désirait continuer la quête avec moi car il voulait connaître le secret de la fameuse Griffe qui, selon ses propos, était la clé d'un immense pouvoir caché par les anciens nordiques, renfermé dans le tertre. L'idée de trouver ce grand pouvoir ancestral me plaisait énormément.
Je libérais donc l'elfe mais celui-ci s'échappa en hurlant qu'il était hors de question pour lui de partager ce grand pouvoir. J'eu donc raison de lui en lui broyant, d'un bon coup de marteau, sa petite colonne vertébrale. Il tomba mort. Je trouva sur lui la Griffe d'Or et son journal d'aventure qui confirmait bien ses propos.
Je continua alors ma route. De nouveaux couloirs et salles se présentèrent à moi avec leurs petites résistances, entre draugrs et ragnards, ce fut un vrai carnage sans que cela en soit réellement difficile.
Des draugrs, il y en avait un sacré paquet, c'était le signe que je m'approchais de la salle du trésor. Mes fidèles fabriquaient aussi ce genre de tertres en Alphasia, j'étais donc le mieux placé pour savoir comment m'y aventurer et quels dangers y étaient renfermés.
J'arrivais ainsi à la porte de la salle du trésor. Ayant réussi à ouvrir la porte grâce à la griffe, je m'avança dans la grande salle.
La salle du trésor était immense et j'entendais un étrange hymne faire écho à travers le grand murs, où étaient sculptées de curieuses inscriptions. je m'approcha du mur et une étrange énergie me recouvrit entièrement. Je doutais avoir hérité du pouvoir ancestral que renfermais à salle du trésor rien qu'en touchant ce mur, mais quand à savoir comment l'utiliser, je l'ignorais encore.
Quand tout à coup, le cercueil derrière moi se brisa et un grand draugr se réveilla. Un nouveau duel débuta. Le monstre était coriace, mais moi encore plus, et l'ignoble mort tomba sous les coups de mon marteau. Le gardien du trésor était mort, ma quête ici venait donc de s'achever.
Une fois tout réglé, je quitta les lieux en continuant ma route par un tunnel qui s'enfonçait derrière le mur ancestral et je me retrouva dehors, de l'autre côté de la montagne.
Le retour vers Rivebois se déroula sans encombre. Je toucha ma prime auprès de Lucan puis je me promena dans le village qui se réveillait petit à petit. J'avais passé toute ma nuit dans le tertre.
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