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    "Le désastre oublié, les vieux héros doivent laisser place à de nouvelles légendes... Huit années après la légende du tigrex noir, qui est devenu sous les paroles du roi Danighor un simple conte pour enfant, de jeunes chasseurs rêvent de vivre aventures et gloire. Revivez leurs tout premiers pas à travers les majestueuses terres de Dondruma. A travers un monde en paix où l'homme et la bête luttent entre eux depuis l'aube des temps. Entre rencontres inoubliables, quêtes spectaculaires, chasses épiques et aventures époustoufflantes, revivez la naissance de cette alliance, cette amitié hors du commun."

     

     


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  • CHAPITRE VI:

    La licorne noire

     

    "Beware of unholy fire
    my guardian of the trees
    their flames can't burn the memory
    the wisdom of the kings
    The secret of this forest
    the ride of unicorns
    are treasures of these valleys
    where freedom has its throne
    where love must reign eternally
    avoiding acts of war"

    Luca Turilli

     

    Le lendemain matin, Braltaly nous dévoila les faits de la nuit. La bataille entre les deux troupes militaires des deux royaumes alliés et son intervention afin d’y mettre fin. Ydëlah était sous le choc. Le pire était arrivé: Une guerre est sur le point d’éclater. Mais aucune raison de cette folie ne vînt éclairer l’esprit de la Princesse d’Emeraude, il ne lui restait plus qu’à enquêter sur cette sombre histoire. Mais la résurrection de Drakira resta la priorité de la quête, et avec Braltaly de notre côté, nous avions de fortes chances de trouver le Cœur de Feu et peut-être de mettre un terme à tout cela. Eteignant les dernières braises, nous quittions le campement et repartirent par-delà les bras de la forêt en quête d’un horizon invisible.

     

    Le vent fut soudainement brûlant, c’était comme si nous étions auprès de la gueule d’un volcan. Zaphiro titubait étrangement tandis que nous avancions difficilement contre la fournaise. Pourtant, il n’y avait aucune odeur de brûlé, donc cela ne pouvait pas s’agir d’un incendie. Bralatly semblait anxieux, et cela m’inquiétait grandement venant de lui car cette soudaine tempête n’avait rien de naturelle. Quand à Ydëlah, elle était plongé dans de sombres pensées, elle en avait les larmes aux yeux, et ma douleur pour elle s’intensifia. Braltaly ordonna que l’on arrête notre marche et que nous allions nous cacher derrière un arbre, car les vents violents nous brûlaient le visage. Mais avant de nous exécuter, la tempête de feu disparut subitement, et tout l’entourage redevînt normal.

     

    -Si nous avions un elfe avec nous, il pourrait communiquer avec les arbres pour savoir ce qui se passe ici. Dit Braltaly.

    -Je parle aux animaux, peut-être que si nous trouvions un des résidents de la forêt… Fit Ydëlah.

     

    Tout à coup, un hennissement d’agonie se fit entendre. Braltaly nous invita à le suivre vers la direction des appels. Après avoir contourné quelques arbres et buissons, nous arrivèrent dans une tout petite clairière auprès d’une cascade. Le sol était carbonisé, on pouvait voir des troncs d’arbres tout aussi brûlé, cette clairière ne s’est pas formé naturellement et elle semble toute fraîche. En face de nous, une licorne noire était en larmes. Elle était à terre, et avait de lourdes brûlures auprès du garrot qui descendaient tout le long de sa patte avant gauche. Ydëlah tomba en larmes. Cette partie de la forêt a bien été saccagé et cette pauvre licorne blessé en même temps. Braltaly s’approcha de l’animal agonisant et parvînt à le soigner avec un sort de soin typique des dragons. Car les dragons sont les seuls à bien pouvoir soigner les brûlures, et c’est d’ailleurs le seul sort de soin qu’ils connaissent. Lentement, les brûlures se retirèrent et la licorne fut de moins en moins essoufflé. Aussitôt, la jeune princesse se jeta sur le licorne soulagé et la serra fort dans ses bras, au sol. La licorne lécha la joue d’Ydëlah et nous vîmes une nouvelle amitié se former. Braltaly, ayant observé les dégâts nous entourant, conclut qu’il s’agissait bien de l’œuvre d’un puissant dragon. Mais reconnaissant l’odeur des flammes, il put l’identifier, et il s’agissait de Drakira…

    Les Volinars utilisent le Cœur de Feu sur le continent, Ydëlah ne cessa pas de pleurer. Nous repartîmes laissant la nature reprendre ses droits, avec un nouveau compagnon avec nous.


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    Etherius:

    "L'aube de la légende... Ou comment un simple duel entre deux légendes peut faire revivre un vieux cauchemar oublié dans la poussière du temps. Car c'est à cause de ce rêglement de compte entre les deux plus grandes légendes des océans, que le séisme a frappé... Et réveillé un démon..."

     

     


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  •  

    Chapitre V:

    Another Coat of Arms

     

     

     

    «A l’aube l’émissaire arrive, c’est le matin du 28 octobre

    Le « No Day » est officiellement établi, ils sont les descendants de Sparte, Athène et la Crète

    Regardant au nord, prêts à se battre, les ennemis chargent depuis les collines

    Même face à la défaite, pas question de se rendre ni de se replier

     

    Encore et encore, ils renvoient les ennemis sur leurs lignes,

     

    Les drapeaux de l’appel aux armes flottent sous le vent,

    Pour la gloire de Hellas,

    Les armoiries de la Liberté et de la Mort,

    Le sang du Roi Leonidas,

     

    A eux seuls, ils forcent l’ennemi à quitter leurs terres,

     

    Les drapeaux de l’appel au combat flottent sous le vent,

    Pour la gloire de Hellas,

    Les armoiries de la Liberté ou de la Mort

    Le sang du Roi Leonidas,

     

    Tout comme leurs ancêtres il y a des années, ils ont combattus sans craindre la défaite

    Ces 300 hommes léguèrent une fierté à retenir : vivre libre ou mourir.

    Et maintenant à leur tour, ces héros sauvent leur pays par leur sang »

     

    Textes : Joakim Brodèn, Pär Sundström

     

    Mais avant de parvenir à notre destination, nous avions dû faire face à deux obstacles: La grande forêt Eraldin et la Mer de l’Ouest. Car Mylébor est en réalité une grande île recouverte entièrement de sa grande forêt, île qui se trouve d’ailleurs étrangement détaché du continent, en effet, c’est la seule et unique île de la Mer de l’Ouest. Nous décidions donc de nous diriger vers le port de Banogur où notre navire nous attendait. Mais la forêt de Eraldin est grande, et s’y perdre Est-ce qu’il y a de plus facile car il n’existe aucun chemin la traversant. Mais grâce à la connaissance et bienveillance d’Ydëlah, je ne m’inquiétais point de notre traversée.

    Nous continuons donc à parcourir les dernières planes verdoyantes avant de parvenir aux bordures de la Forêt Eraldin. Nous vîmes au loin une ferme auprès des premiers bois de la forêt où des chevaliers par dizaines s’éloignaient. Ydëlah fronça les sourcils à la vue de ces chevaliers qui partirent vers des horizons lointains. Braltaly jouait avec un de ses couteaux et sifflotant, et Zaphiro marchait en titubant auprès de moi, il venait tout juste de se réveiller mais le choc de la rencontre se lisait encore sur sa gestuelle.

    Quelques minutes plus tard, nous arrivions à la ferme où une femme assez âgée était assise sur un banc de pierre à regarder ses poules. Nous nous approchâmes donc et la vieille souria à notre vue. Ydëlah nous présenta à la propriétaire des lieux et lui demanda si nous pouvions avoir quelques herbes médicinales. Cette dernière acquiesça et partit dans sa maison nous demandant ainsi d’attendre. Quelques instants plus tard, un grand homme plutôt jeune s’approcha de nous et se présenta avant nous. Ydëlah lui demanda qui étaient les soldats qui quittaient la ferme et le jeune homme répondit qu’ils étaient venus pour se ravitailler. Ils ont perdu 15 poules, tous les œufs de la journée et trois tonneaux d’alcool. Ydëlah considéra cela comme étrange puisque nous ne sommes pas en temps de guerre, et donc les soldats n’ont pas à venir se ravitailler auprès des civils lors de leur marche. Le jeune homme leur apprit qu’il s’agissait des soldats du Royaume de L’Est, allié à celui de l’Ouest. Et là, Ydëlah fut encore plus confuse. Pourquoi le Royaume de l’Est enverrait des soldats à l’autre extrémité du continent ? Car c’est au Royaume de l’Est de s’occuper des problèmes de l’Est, et de même pour le Royaume de l’Ouest pour l’Ouest.

     

    « Il n’y a pas de problèmes sur le grand continent, nous sommes en temps de paix, il n’y a que Mylébor qui brûle, mais cette île n’appartient à aucun Royaume, elle est complètement indépendante. Les soldats de nos Majestés ne doivent pas se mêler des affaires extérieures… Cela n’a normalement aucun lien envers Mylébor ! Mais alors pourquoi l’Est envoie des soldats à l’Ouest ? » Les pensées d’Ydëlah devinrent un véritable chaos, plus elle cherchait des réponses et plus elle trouvait des questions, ce qui l’inquiétait grandement.

     

    Puis la vieille femme revînt pour nous apporter quelques herbes et nous la quittâmes aussitôt, car la forêt est si grande que perdre du temps est une grande erreur avant la catastrophe qui semble s’annoncer…

     

    La soirée tomba et notre marche entre les murs de la forêt avait commencé. Déjà, des yeux étrangers nous suivaient. De simples résidents des lieux, nous n’avions donc rien à craindre tant que Braltaly ne stoppa pas notre marche. Ydëlah nous guidait à travers les arbres et ruisseaux comme si elle connaissait la forêt sur le bout de ses doigts. Zaphiro gambadait entre les buissons et arbustes, sans doute à la recherche d’autres animaux ou de quoi manger. Puis le froid commença petit à petit à dévorer notre peau, les ténèbres nous envahirent et Braltaly stoppa notre marche.

     

    -Braltaly: Bon ! Installons notre campement ici, je vais chercher du bois sec, préparez le repas en attendant.

     

    Nous nous exécutâmes. Braltaly partit et nous nous retrouvions tous les trois à préparer de quoi manger. Ydëlah avait commencé un mélange de divers légumes avec des morceaux de viandes. Zaphiro l’examina d’un air attentif tandis que j’installais de quoi nous asseoir autour du feu.

     

    -Ydëlah: Je te vois encore dans les ténèbres mon ami ! Peux-tu m’en parler ?

    -Tu n’es pas venu à Lacrimatica pour rien, ma chère ! Ton désespoir semblait bien profond pour venir te réfugier sur ces terres célestes abandonnées des divinités.

    -J’étais en effet dans une lourde peine…

    -De même. J’espère renaître. Mais au fond, je ne cesse de me demander ce qu’est la renaissance…

    -En lisant tes lignes, tu ne cessais de te demander ce que signifiaient l’amour et aussi l’amitié ! Ta Tempête Noire avec elle t’a tellement détruit. A-t-elle été si violente ?

    -Je ne sais pas. Mais ce qui est sûr, c’est qu’elle est loin d’être la seule responsable. Cette Tempête Noire a déclenché ma chute, car tellement de choses m’ont déçu après cette rupture, c’est difficile d’en parler…

    -Je vois… Je me sens… Comment dire… Depuis que je suis à Lacrimatica, je souris différemment…

    -Je ne te force pas à parler de tes maux, Ydëlah. Je ne veux pas que tu te fasses du mal en te sentant obligé de m’en parler.

    -Oui… Mais viendra un jour où je te parlerais. Comme c’est mon devoir en tant qu’ami fidèle.

    -Cela ne dépend que de toi !

     

    Quelques instants plus tard, Braltaly revînt parmi nous en riant. Nous lui demandons ce qui le faisait tant rire et il nous répondit qu’il nous en parlerait plus tard. Il n’avait que deux brindilles avec lui mais parvînt tout de même à faire un feu (Chose facile pour un dragon, même maudit). Le repas prêt, nous nous jetâmes dessus. La cuisine d’Ydëlah fut vraiment délicieuse, excepté pour Braltaly et Zaphiro qui regardaient étrangement la verdure, mais se léchaient les babines à la vue de la viande. Puis Braltaly se leva pour prendre la parole:

     

    -Il y a un campement non loin. Ce sont des soldats et ils sont une centaine. Leur blason est une tête de cheval blanche sur un fond rouge, avec une épée en verticale au centre du blason. Je m’y suis faufilé et j’ai trouvé certaines cartes qui semblent être des plans d’attaque en visée d’une île. J’ai analysé leur stratégie et elle n’est vraiment pas bonne, c’est ça qui est drôle.

     

    Ydëlah resta sous le choc. Elle connaissait bien ce blason et il s’agissait bien de celui du Royaume de l’Est. Ses pires craintes étaient confirmées: L’Est offensait Mylébor. Mais pour quel but ? Le roi n’oserait jamais s’attaquait à un peuple aussi puissant que les Olinars, et d’ailleurs, personne d’autre. Il se trame quelque chose d’étrange derrière toute cette histoire. Et plus Ydëlah y réfléchissait, plus elle craignait une nouvelle guerre. Je lui fis un massage car la voir plongé ainsi dans un tel chaos me faisait du mal. Nous étions partit à Mylébor afin de redonner vie à un dragon légendaire, fils des divinités, et nous découvrons petit à petit qu’une guerre est sur le point d’éclater sur ce magnifique monde en paix. Pendant ce temps, Braltaly se retira, nous laissant de nouveau tous les trois.

     

    -J’aimerais pouvoir comprendre. A Mylébor, il y a mon peuple, mes amis, mes frères… Nos voisins, les olinars sont plongés dans une folie qui risque de déclencher une guerre sur mes terres natales… Je n’ai jamais demandé cela… Que se passe-t-il, bon sang ?

     

    Elle se cacha entre mes bras et je la berçai afin de calmer son esprit confus.

     

    Un peu plus loin et plus tard, dans la forêt, Braltaly se rendit à nouveau dans le camp. Cette fois-ci, il ne se cacha point et, au contraire, se montra aux soldats réunit autour d’un feu de camp. Ces derniers le virent et dégainèrent leurs armes envers l’étranger. Un grand homme en armure et à la cape rouge sang se présenta à lui et lui ordonna de s’identifier:

     

    -Je suis le chef de ce bataillon envoyé par notre Bon Roi Muruark. Qui es-tu étranger pour venir t’inviter ici, ce n’est point très prudent car mes hommes sont fatigué et énervé. Nos lames auront raison de ton irrespect envers nous.

    -Salut à toi ! Je suis Braltaly, chef d’offensive du Clan des X du monde d’Alphasia, Roi des derniers elfes de l’Ancien Royaume Caché d’Ylën du monde d’Alphasia. Je suis venu à vous afin de vous fournir des informations sur Mylébor. Le Bon Roi Muruark m’envoie à vous pour vous ordonner d’offenser Mylébor par le Nord, étant donné que les olinars surveillent le Sud de l’île.

    -A tiens ? Le Bon Roi t’envoie ? Mais je ne vois guère le blason du Royaume sur toi ? Qu’est-ce qui me prouve que le Bon Roi t’envoie ?

    -Mon talent à la lame.

     

    -ALERTE !! ALERTE !! L’OUEST NOUS ATTAQUE !! Hurla la vigie.

     

    -Par les flammes de l’enfer ! C’est impossible !! Fit le capitaine.

     

    Tout à coup, il y eu un cri, puis un autre, et une dizaine. Des flèches de feu furent envoyées par les cieux. Il y avait une troupe de soldat en armure lourde et cape verte sur une des extrémités du campement. Ils étaient peu nombreux mais mieux équipé et organisé. Les soldats du camp entrèrent dans un chaos total, ils n’avaient pas du tout prévu un assaut si soudain. Les hommes tombèrent foudroyés par les flèches. Braltaly, voyant cela, eu un sourire noir et s’élança sur les offenseurs. Et ce fut un carnage… En à peine quelques parades, ils tombèrent tous un à un. Le dragon maudit tua encore et encore avec un sombre plaisir. De la foudre et des flammes furent crachés par ses lames, et le sang coula de plus en plus… Jusqu’à ce qu’il n’en resta que cinq qui furent prit comme prisonniers. L’ennemi neutralisé, Braltaly se retourna vers le capitaine:

     

    -Ai-je été clair ? Allez au Nord de l’île, tels sont les ordres du roi…

     

    Dit-il avant de s’éclipser.

     

    -Mais attendez, il n’y a pas des falaises au Nord ?

     


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    "Les grandes puissances se lèvent, puis chutent violament, emportant dans leur terrible écroulement tout ce qu'ils ont conquis. Tel Hitler, Napoléon, ou encore Alexandre Le Grand, le Carolus Rex (Charles XII), n'échappe point à cette rêgle tyrannique. Mais seules les grandes puissances restent dans les mémoires de l'Histoire du Monde."

     

     


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